Berlinale 2018: 2 coproductions luxembourgeoises en première mondiale
24/01/2018 - 24/01/2018
La 68e Berlinale, premier grand festival de cinéma compétitif de l’année en Europe, attirera non seulement l’attention des professionnels, mais aussi du grand public du 15 au 25 février 2018.
Deux coproductions luxembourgeoises représenteront le Grand-Duché :
– « Black 47 », long-métrage du grand réalisateur irlandais Lance Daly, une coproduction de Samsa Film sélectionnée en première mondiale hors compétition.
Le film se passe en 1847 lorsque l’Irlande est sévèrement touchée par la Grande Famine. Un ranger irlandais endurci quitte son poste dans l’armée britannique pour rentrer en Irlande et rendre visite à sa famille. Il découvre que sa mère est morte de faim et que son frère a été tué par les Anglais. Il prend le chemin sanglant de la vengeance. Le seul homme capable de l’arrêter est son vieil ami de l’armée anglaise.
Casting (Jim Broadbent, Hugo Weaving, Stephen Rea, James Frecheville, …)
– « Bad Banks », série télévisée de 6 épisodes de 52’ réalisée par Christian Schwochow, une coproduction d’ Iris Productions sélectionnée en première mondiale section ‘Berlinale Series’
Le thriller réunit Paula Beer, Tobias Moretti, Barry Atsma et Jean-Marc Barr ainsi que les Luxembourgeois Désirée Nosbusch, Marc Limpach, Germain Wagner, Steve Karier, Eugénie Anselin et Larisa Faber.
La série sera diffusée sur la chaîne allemande ZDF à partir du 3 mars prochain ainsi que sur ARTE (France).
L’actrice luxembourgeoise, Jeanne Werner, connue pour sa prestation dans des films internationaux tels que « Colonia » ( Iris Productions) ou « Bye Bye Germany » ( Samsa Film), sera sous le feu des projecteurs des ‘Berlinale Talents 2018’. Cette initiative propose à 250 jeunes talentueux un programme d’une semaine de coaching dans tous les domaines du cinéma et offre un tremplin vers la section principale du festival et vers le marché international.
Parallèlement au festival, se tient un important marché du film. Le volume des achats qui y sont négociés font de Berlin le deuxième marché du film, en importance, après Cannes.